Aussi je le mets sur mon blog, c'est un bon compromis pour l'instant.
À mon grand embarras, le texte a émergé d’une manière assez peu contrôlée. Avec le mémoire de première année, ce mémoire est mon second et j’ai réussi le tour de force de m’y prendre complètement autrement. Ceci est un très bon exemple des contraintes exercées (affordances) par les outils sur les comportements humains. Mon premier mémoire fut rédigé en ligne grâce à Google Docs, et j’étais parvenu à pousser de front mon écriture sur trois pages de documents. J’avais trois parties, j’ai créé trois documents, que je rédigeais en parallèle. Pour ce mémoire, j’ai employé Evernote pour colliger toutes mes petites notes, citations et références trouvées à droite et à gauche. Evernote offre la possibilité de rassembler et d’organiser ses fragments de texte à l’aide d’un système d’étiquettes (tags). Manifestement, mes compétences taxonomiques laissent à désirer. Heureusement, l’outil de recherche est assez puissant. Et pour rédiger, je me suis mis sur Scrivenr qui est un logiciel de rédaction de longs textes, tels que des romans. Sa particularité est de permettre de rédiger partout à la fois. Il suffit de rapprocher deux parties du textes pour les fusionner, les concaténer ou créer un troisième morceau. Il offre aussi une vue en mode plan (outlines) qui permet d’observer la progression de son écriture et réorganiser des fragments au besoin. Je me retrouve à jongler avec plusieurs logiciels pour gérer une quantité bien trop importante de petits bouts de texte… Mon entêtement a utiliser des technologies que je ne maitrise pas encore n’est pas la seule justifier l’état de ce mémoire.
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